Ce que MON éditrice me glisse cette nuit dans un de ses [incomparables] mails sur nos chantiers en cours:
"Je me suis régalée à survoler ton blog et à regarder les
vidéos sur YouTube. Il y a, dans tout ce que j'ai lu ou vu, une distinction qui
me ravit. J'ai toujours pensé que ce n'était pas le ton employé mais les mots
choisis qui enjoignait à prêter attention à ce que l'on dit. Ce chic dont tu
pares tes phrases en impose. Foin d'esbroufe grandiloquente, tout est dit à
l'économie. Et c'est fort, très, très fort. Wow !
Sur ces
belles paroles, je te tire mon chapeau (que je n'ai pas, vu que je suis chez
moi), et te dis à toutou bientôt, Pascale "
Ce que MON cerveau me glisse ce matin dans une de ses [délirantes] ambivalences sur mes émotions en chantier:
"La claque. Elle aime vraiment ton travail. Elle t'aime. C'est génial. T'as pas besoin d'avoir besoin qu'on t'aime tu le sais. T'aimes pourtant qu'on t'aime. C'est nul. Ça te rassure. C'est pas bien. C'est pas mal non plus. Peut-être. C'est quoi ce bordel. Pourquoi t'écris au fond. Pour écrire ou pour qu'on t'aime. Pour les deux au fond. C'est chiant. C'est pas confort. C'est con. C'est fort aussi. C'est comment accueillir sans ego. C'est comment bordel. C'est chaud. Ton cœur explose. Et avec lui ton cerveau. Regarde y en a partout dans le bureau. C'est pas beau. C'est beau. C'est le bug. Wow!
Sur ces belles paroles je te tire [pas] mon chapeau, et te dis à bientôt, Sandra "
Sur ces belles paroles je te tire [pas] mon chapeau, et te dis à bientôt, Sandra "
💥💘💣
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